Figure 5–7 : (a) Le taux
de diminution de l’intensité énergétique (énergie par PIB unitaire) nécessaire
pour atteindre des niveaux spécifiques de stabilisation des concentrations de
CO2 est dans la plage des taux atteints par le passé pour une stabilisation
supérieure à 550 ppm, et peut-être même à 450 ppm, mais (b) le taux d’amélioration
nécessaire pour l’intensité de carbone (émissions de carbone par unité d’énergie)
pour obtenir une stabilisation à des niveaux inférieurs à 600 ppm est plus élevé
que les taux obtenus jusqu’ici. Par conséquent, la diminution du niveau
de stabilisation s’accompagne d’une augmentation des coûts d’atténuation, augmentation
qui est plus rapide pour un objectif inférieur à 600 ppm (voir .Figure
7-3).