Figure RID–6: La stabilisation des concentrations de CO2 exigerait
des réductions considérables des émissions au-dessous des niveaux actuels et
ralentirait le rythme du réchauffement.
- Émissions de CO2: les chemins temporels des émissions de CO2 susceptibles
de conduire à la stabilisation de la concentration atmosphérique du CO2
à des niveaux différents sont estimés pour les profils de stabilisation
WRE par la modélisation du cycle du carbone. La partie ombrée représente
la fourchette d’incertitudes.
- Concentrations de CO2 : Les concentrations de CO2 spécifiées pour les
profils WR2 sont représentées.
- Variations de température moyenne mondiale : Les variations de température
sont évaluéesà l’aide d’un modèle climatique simple pour les profils de
stabilisation WRE. Le réchauffement se poursuit au-delà du point de stabilisation
des concentrations de CO2 (indiqué par des points noirs), mais beaucoup
plus lentement. La simulation suppose que les émissions de gaz autres que
le CO2 suivent la projection A1B du RSSE jusqu’en 2100 et restent constantes
par la suite. Ce scénario a été choisi en raison de sa position centrale
dans l’éventail de scénarios du RSSE. Les lignes en pointillés représentent
les prévisions des variations de température pour les profils S (ne figurant
pas sur les graphiques (a) ou (b)). La partie ombrée illustre les effets
d’une fourchette de sensibilité du climat pour les cinq cas de stabilisation.
Les barres verticales colorées à droite représentent l’incertitude pour
chaque cas de stabilisation en 2300. Les losanges à droite représentent
le réchauffement moyen à l’équilibre (très long terme) pour chaque niveau
de stabilisation du CO2. Les émissions et concentrations de CO2 et les variations
de température sonté galement indiquées pour trois des scénarios du RSSE
à des fins de comparaison.
Retour au texte